Post-punk, post-rock… autant de termes qu’on ne pensait plus écrire ni lire en 2022 et qui, à force de vouloir aller de l’avant, renvoient surtout à un passé pas si lointain, quand quatre ou cinq énergumènes juraient fidélité aux mélodies dissonantes sur la foi d’une mauvaise bière tiède. De ce point de vue, le nouvel album des Canadiens de Deliluh, « Fault Lines », arrive après la guerre. Mais pas sans armes.
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