A la différence de beaucoup de labels « indés » campant sur leurs valeurs comme des autostoppeurs au milieu du désert, le label parisien du Turc Mécanique joue depuis 7 ans à la roulette russe au point qu’on ne sait plus vraiment s’il s’agit d’une discographie proto-punk, post-clubbing ou simplement néo-n’importe-quoi. Il en est de même pour cet anniversaire parfaitement désorganisé dont le feu d’artifice final est prévule samedi 16 février à la Station. Les deux « in-dirigeants » derrière les signatures de Jardin, Colombey ou encore Sida ont pris le temps de nous expliquer tout ça. Enfin, de tenter de nous expliquer tout ça.
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