De mémoire – et puisque les temps ont bien changé depuis – il restait quelques questions à poser. Seulement voilà : l’homme n’était pas facile à avoir. Déjà, Claude Vorilhon (son vrai nom) vit au Japon. Ensuite, à force de reportages infiltrés – souvent pin-pon, toujours mauvais – il était normal que les Raëliens en aient marre de passer dans les gazettes pour un gang de maboules impies. Et pourtant.
Pourtant notre journaliste a réussi au bout de plusieurs mois à interviewer l’homme derrière le « clone ». Elle est également parti à la rencontre des Raëliens et a pu témoigné de toutes les actions du mouvement, aujourd’hui, à travers le monde. Dans son enquête, parue vendredi dernier dans Gonzaï n°15 en kiosque, vous pourrez découvrir :
Pourtant notre journaliste a réussi au bout de plusieurs mois à interviewer l’homme derrière le « clone ». Elle est également parti à la rencontre des Raëliens et a pu témoigné de toutes les actions du mouvement, aujourd’hui, à travers le monde. Dans son enquête, parue vendredi dernier dans Gonzaï n°15 en kiosque, vous pourrez découvrir :
– Le minimum de cotisations raëliennes
– Les cliniques de l’amour en Afrique
– Le Paradisme (et comment sauver l’humanité et régler en quelques minutes le problème de Fukushima)
– Arnaud Fleurent-Didier, Michel Houellebecq et Dieudonné chez les Raëliens
– Ce que le Ministère de l’Intérieur statue à propos de cette « secte »
– Est-ce que Raël aime le rap ?
À cette dernière question la réponse est non. Il trouve ça trop grossier, comme beaucoup d’arts contemporains. Et ça n’est pas un peu réactionnaire ça Claude, de refuser le contemporain ? Réponse du Maitreya : « Quand on est réactionnaire à une dégradation, on est révolutionnaire ».
Alors, prêts pour la Raëlvolution ?
RDV dans Gonzaï n°15.
En vente partout pour 6,66€ et ici.
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